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Hymenochaete rubiginosa (Dickson) Leveille (1846) |
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Synonymes : Helvella rubiginosa Dickson (1785), Plantarum cryptogamicarum britanniae, 1, p. 20 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Auricularia ferruginea Bulliard (1787), Herbier de la France, 8, tab. 378 Thelephora rubiginosa (Dickson) Schrader ex J.F. Gmelin (1792), Systema naturae, Edn 13, 2, p. 1441 Thelephora fragilis Ehrhart (1792) [1785-95], Plantae cryptogamae linneae, exsiccavit, 24, n° 238 Thelephora ferruginea (Bulliard) de Candolle (1805), Flore francaise ou description succincte de toutes les plantes qui croissent naturellement en France, Edn 3, 2, p. 104 (nom. illegit.) Stereum rubiginosum (Dickson) Fries (1815), Observationes mycologicae praecipue ad illustrandam floram suecicam, 1, p. 155 Thelephora spadicea Chevallier (1826), Flore generale des environs de Paris, 1, p. 90, tab. 7, fig. 1 (nom. illegit.) Stereum ferrugineum (Bulliard) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 550 (nom. illegit.) Hymenochaete rubiginosa (Dickson) Leveille (1846), Annales des sciences naturelles, botanique, serie 3, 5, p. 151 (nom actuel) Hymenochaete ferruginea (Bulliard) Massee (1890) [1891], The journal of the linnean Society, botany, 27(181), p. 103 References : Bon p. 311 ; BK 2 296 ; Eyssartier et Roux p. 1016 ; Phillips p. 235 ; BG p. 390 n° 621 ; Cetto 5 p. 471 Groupe : Polypores Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Hymenochaetales / Hymenochaetaceae Chapeau/Fructification : Fructification semipilee avec formation de chapeaux nets, lateraux ou imbriques, concrescents ; le chapeau mesure 10-40 mm de largeur, 0,5-1 mm d'epaisseur et atteint 10-40 mm de projection. Surface pileique sinueuse, zonee de bourrelets, rouge- brun fonce, brun-noir a ocre-brun, noiratre dans la vieillesse, finement feutree ou glabre. Marge aigue plus claire, sinueuse, crenelee et retrecie au point d'attache. Lames/Pores : Face inferieure a hymenophore bossele, ondule, lisse et mat, rouge-brun a orange-brun vif a l'etat frais, surtout vers la marge, puis brun fonce a gris-brun. Chair : Consistance coriace, tenace, facilement dechirable. Habitat : Sur bois mort decortique de Quercus et Castanea sativa, sur branches et troncs debout ou tombes, sur bois travailles, mais egalement et souvent parasite des troncs vivants. Spores : Oblongues elliptiques, lisses, hyalines puis fulvescentes, tres rarement deprimees d'un cote, 4,5-6,5 x 2,5-3,5 µm. Basides cylindriques clavees, 12-20 (28) x 3-4 (5)µm, 2 a 4 sterigmates longs, 3,5-4,5µm,non bouclees. Pas de cystide. Soies brun foncees, subulees, a parois epaisses, emergentes, mais aussi incluses dans l'hymenium. Monomitique : Hyphes generatrices hyalines, larges, cloisonnees, non bouclees. Hyphes de la trame brunes, larges, a parois epaisses, cloisonnees et rarement sans boucles. Comestibilite : Sans interet Commentaires : Frequent. Tout au long de l'annee. Perenne, atteignant 10 ans ou plus. Remarques : Cette espece est un hote typique de Quercus et Castanea sativa. Les fructifications confluent souvent pour former de grandes surfaces. |
Porostereum spadiceum (Persoon) Hjortstam & Ryvarden (1990) |
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Noms francais : Lophaire chataine Synonymes : Thelephora spadicea Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 568 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) Stereum spadiceum (Persoon) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 549 Stereum venosum Quelet (1884) [1883], Compte rendu de l'Association francaise pour l'avancement des sciences, 12, p. 505, tab. 11, fig. 16 Hymenochaete olivacea Cooke (1885), Grevillea, 14(69), p. 11 ('olivaceum') Stereum spadiceum var. venosum (Quelet) Quelet (1886), Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 205 Peniophora atrocinerea Massee (1889) [1890], The journal of the linnean Society, botany, 25(170), p. 141 Stereum purpureum var. venosum (Quelet) Massee (1890) [1891], The journal of the linnean Society, botany, 27(182), p. 186 Lloydella spadicea (Persoon) Bresadola (1901), in Lloyd, Mycological writings, 1, mycological notes n° 6, p. 51 Stereum atrocinereum (Massee) Van der Byl (1929), Annale van die Uniwersiteit van Stellenbosch, 7, A(3), p. 44 Stereum sponheimeri Pilat (1937), Bulletin de la Societe mycologique de France, 53, p. 92 Lopharia spadicea (Persoon) Boidin (1959), Bulletin mensuel de la Societe linneenne de Lyon, 28(7), p. 211 Porostereum spadiceum (Persoon) Hjortstam & Ryvarden (1990), Synopsis fungorum (Oslo), 4, p. 51 (nom actuel) References : Julich 198 ; BK 2 240 ; Marchand 331 ; Eyssartier et Roux p. 1016 Groupe : Polypores Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Polyporales / Phanerochaetaceae Chapeau/Fructification : Fructifications resupinees a etalees reflechies. Surface finement hirsute, feutree, zonee, brune a gris-brun. Marge mince, ondulee, fibreuse, blanche ou jaune-blanchatre. Lames/Pores : Hymenium souvent ride crevace a l'etat sec, gonfle a l'etat imbu, gris bistre, cendre, un peu olivace. Sporee blanchatre. Chair : 0,5-1,5 mm epaisseur, coriace, molle, puis cassante a sec, brune. Habitat : Sur branches et troncs cortiques ou non de feuillus, sur tas de bois morts, surtout Fagus. Peu commun. Du printemps a l'automne. Spores : Ovales, lisses hyalines, 5,5-7 x 3,5-4,5 µm. Basides clavees, tetrasporiques. Cystides de 2 types : Pseudocystides majoritaires issues d'hyphes squelettiques traversant la trame, emergentes, brunes, a paroi epaisse, tres incrustees dans la portion emergente longue de 35-60 µm. Egalement cystides hymeniales noyees parmi les pseudocystides, a paroi epaisse, plus ou moins coniques, 35-60 µm, incrustees sur une longueur de 6-7 µm. Systeme dimitique: Hyphes squelettiques vraies (non cloisonnees) seulement dans la partie basale. Dans la trame, elles conservent leur paroi epaisse mais sont pourvues de cloisons eparses bouclees. Mesurant 3-4 µm de large, elles donnent naissance aux pseudocystides. Dans le sous-hymenium, presence d'hyphes generatrices ramifiees bouclees a paroi plus ou moins epaissie mesurant 2-3 µm de large. (Difficile a observer) Comestibilite : Sans interet |
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