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| Ampulloclitocybe clavipes (Persoon) Redhead, Lutzoni, Moncalvo & Vilgalys (2002) |
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Noms francais : Clitocybe a pied en massue Synonymes : Agaricus clavipes Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 353 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) Agaricus obconicus Schumacher (1803), Enumeratio plantarum in partibus Saellandiae septentrionalis et orientalis, 2, p. 329 Gymnopus clavipes (Persoon) Zawadzki (1835), Enumeratio plantarum Galiciae & Bucowinae, p. 164, n° 2581 Clitocybe clavipes (Persoon) P. Kummer (1871), Der furher in die pilzkunde, p. 124 Agaricus carnosior Peck (1872) [1869], Annual report of the state Cabinet of natural history, 23, p. 76 Omphalia clavipes (Persoon) Quelet (1886), Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 20 Clitocybe carnosior (Peck) Saccardo (1887), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 5, p. 146 Clitocybe media Peck (1889) [1888], Annual report of the New York state Museum of natural history, 42, p. 18, tab. 1, fig. 9-12 Agaricus planiusculus Britzelmayr (1896), Botanisches centralblatt, 68, p. 109, tab. 151, fig. 721 Clitocybe planiuscula (Britzelmayr) Saccardo & Traverso (1910), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 19, p. 351 Clavicybe clavipes (Persoon) Harmaja (2002), Karstenia, 42(2), p. 42 Ampulloclitocybe clavipes (Persoon) Redhead, Lutzoni, Moncalvo & Vilgalys (2002), Mycotaxon, 83, p. 36 (nom actuel) References : Becker p. 149 ; Bon p. 135 ; CD 274 ; DM HS 4 p. 34 ; Phillips p. 49 ; Eyssartier et Roux p. 578 Groupe : Tricholomes Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Hygrophoraceae Chapeau/Fructification : Charnu et mou, 4-10 cm de diametre, convexe puis plan, a la fin en cone aplati, souvent avec un mamelon central. Sa surface est lisse, absolument glabre, de couleur cendree plus ou moins foncee, beige a gris-jaune avec parfois des nuances olivatres, plus fonce au centre et souvent tout blanc a la marge. Lames/Pores : Longuement decurrentes, pas tres larges, peu serrees pour un Clitocybe, epaisses et molles, blanches puis creme jaunatre a jaune citrin pale. Chair : Blanchatre, molle et humide, hygrophane, spongieuse (comme remplie de coton et rendant de l'eau a la pression par temps humide) dans le pied. Saveur douce et odeur suave, qui evoque en plus faible, celle du jasmin, ou fruitee, un peu de fleur de mandarinier. Stipe : 2-7 X 0,4-2 cm, creme a plus ou moins concolore au chapeau, a base renflee en massue et typiquement incurve a la base, de sorte que sa tige n'est pas immediatement verticale. Habitat : On trouve cette espece aussi bien sous les feuillus que sous les coniferes, souvent dans les bois pierreux et secs. Spores : Sporee blanchatre. Spores hyalines, 07-1 x 4-5, ovoides a pruniformes ou larmiformes, lisses, a contenu granuleux, non amyloides et legerement cyanophiles. Pas commune partout mais parfois en quantites considerables. Comestibilite : Toxique |
| Sidera lenis (P. Karsten) Miettinen (2011) |
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Synonymes : Physisporus lenis P. Karsten (1886), in Rabenhorst, Fungi europaei exsiccati, Klotzschii herbarii vivi mycologici continuatio, Edn 2, serie 2, n° 3527 (Basionyme)
Poria lenis (P. Karsten) Saccardo (1888), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 6, p. 313 Poria vulgaris var. calcea (Fries) Bresadola (1897), Atti dell'imperial regia Accademia di scienze, letter ed arti degli Agiati in Rovereto, serie 3, 3, p. 86 Poria tenuipora Murrill (1920), Mycologia, 12(2), p. 85 Poria montana Murrill (1920), Mycologia, 12(6), p. 307 Poria earle i Murrill (1920), Mycologia, 12(2), p. 86 Poria minutipora Rodway & Cleland (1930) [1929], Papers and proceedings of the royal Society of Tasmania, 1929, p. 17 Poria subvulgaris Rick (1937), Broteria, serie trimestral, ciencias naturais, 6, p. 151 Poria consimilis Rick (1937), Broteria, serie trimestral, ciencias naturais, 6, p. 135 Amyloporia lenis (P. Karsten) Bondartsev & Singer (1953), Bracket Fungi Europ. USSR & Caucasus, p. 149 Antrodia lenis (P. Karsten) Ryvarden (1973), Norwegian journal of botany, 20(1), p. 8 Diplomitoporus lenis (P. Karsten) Gilbertson & Ryvarden (1985), Mycotaxon, 22(2), p. 364 Skeletocutis lenis (P. Karsten) Niemela (1991), Karstenia, 31(1), p. 23 Cinereomyces lenis (P. Karsten) Spirin (2005), Karstenia, 45(2), p. 106 Sidera lenis (P. Karsten) Miettinen (2011), Mycological progress, 10(2), p. 136 (nom actuel) References : Julich 2 p. 357 ; CQ ; E.P. p. 626 fig. 335 ; BG p. 674 n° 990 Groupe : Polypores Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Hymenochaetales / Incertae sedis Chapeau/Fructification : Fructification resupinee, etroitement adherente au substrat et formant des plaques de plusieurs centimetres et jusqu'a 4 mm environ d'epaisseur, parfois plus (1 cm). Marge etroite, amincie, cotonneuse ou pulverulente a fimbriee, souvent fertile jusqu'au bord, blanche, separable. Trame coriace. Lames/Pores : Face poroide plus ou moins brillante, blanc creme au debut, creme a chamois pale avec l'age ou au sec. Pores ronds, 5 a 7 par mm, souvent plus grands par endroits, sinueux avec l'age, cloisons minces, couche blanche a blanc creme. Couche(s) des tubes indistinctement stratifiees, blanche jusqu'a 10 mm de longueur. Chair : Cotonneuse et fibreuse, douce, blanche, tres mince, de 1 a 3 mm d'epaisseur. Habitat : Sur troncs abattus et pourris, poutres, vieux bois travailles. En Europe du Nord, plus commun sur coniferes, en particulier, Abies, Cupressus, Picea, Pinus et Taxus. Vers le Sud, commune sur tous types de feuillus tels que, Fagus, Fraxinus, Populus, Quercus, Salix et Tilia. ( in litt.) une fois sur un Fomes fomentarius mort. Spores : Basidiospores semi-lunees a allantoides, hyalines, lisses, negatif dans le reactif de Melzer, 3,5-4,5 x 1-1,5 µm. Basides clavees-courtes, 4 sterigmates, bouclees, 8-12-(13,5-15) x (3)-4,5-5-(6) µm, avec une pince basale. Basidioles similaires aux basides, un peu plus petites. Pas de cystide. Cystidioles fusoides, renflees a la base, 15-20 x 3-4 µm. Dimitique : (1)- Hyphes generatrices a paroi mince, non incrustees, hyalines, bouclees, 2-4 µm de diametre. (2)- Hyphes squelettiques a paroi epaisse, hyalines, non cloisonnees, non ramifiees, droites ou sinueuses, 2-5 µm, souvent avec une incrustation apicale chez les vieux specimens. Comestibilite : Sans interet Commentaires : Assez commun. Toute l'annee. Remarques : Grosse pourriture blanche sur feuillus, moins nette sur coniferes. Vegetation plus active au printemps et au debut de l'automne. |
| Sidera vulgaris (Fries) Miettinen (2011) |
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Synonymes : Boletus cellulosus O.F. Muller (1777), Flora danica, 12, p. 8, tab. 716, fig. 1
Boletus papyraea Schrank (1789), Baiersche flora, 2, p. 618 Boletus inversus Villars (1789), Histoire des plantes de Dauphine, 3(2), p. 1042 Boletus proteus Bolton (1791), An history of fungusses growing about Halifax, 4, p. 166, tab. 166 Boletus tunicatus Schumacher (1803), Enumeratio plantarum in partibus Saellandiae septentrionalis et orientalis, 2, p. 391 Polyporus vulgaris Fries (1821), Systema mycologicum, 1, p. 381 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) Physisporus vulgaris (Fries) Chevallier (1826), Flore generale des environs de Paris, 1, p. 262 Boletus vulgaris (Fries) J. Becker (1828), Flora der Gegend um Frankfurt am Main, zweite abtheilung, p. 608 Poria vulgaris (Fries) Cooke (1886), Grevillea, 14(72), p. 109 Trametes vulgaris (Fries) Patouillard & Hariot (1900), Journal de botanique, Paris, 14(8), p. 239 Poria calcea f. coriacea Bourdot & Galzin (1925), Bulletin de la Societe mycologique de France, 41, p. 233 Poria calcea var. coriacea(Bourdot & Galzin) Bourdot & Galzin (1928) [1927], Hymenomycetes de France. Heterobasidies- Homobasidies Gymnocarpes, p. 674 Aporpium vulgare (Fries) Bondartsev & Singer ex Bondartsev (1953), Bracket Fungi Europ. USSR & Caucasus, p. 163 Tyromyces vulgaris (Fries) Bondartsev & Bondartseva (1960), Botanichnyi z?hurnal (Kiev), 45, p. 1695 Skeletocutis vulgaris (Fries) Niemela & Y.C. Dai (1997), Acta botanica Fennica, 34(2), p. 135 Cinereomyces vulgaris (Fries) Spirin (2005), Karstenia, 45(2), p. 103-113 Sidera vulgaris (Fries) Miettinen (2011), Mycological progress, 10(2), p. 136 (nom actuel) References : Julich 366 ; BG p. 679 n° 997 ; RIV p. 764 ; LP p. 943 Groupe : Polypores Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Hymenochaetales / Incertae sedis Chapeau/Fructification : Arrondi puis confluent et largement etale, assez tenace, separable sur le frais, subiculum tres mince, presque nul. Bordure menbraneuse, finement villeuse ou byssoide fibrilleuse, blanche, parfois tres etroite,presque nulle. Lames/Pores : Fins, 0,15-0,30 mm, arrondis ou un peu anguleux, tres finement pubescents a la loupe, a parois tres minces, blanc hyalin, blanc de lait, puis pales, creme chamois, et creme incarnat sur le sec. Tubes courts, 0,5-2 mm. Chair : Consistance un peu elastique. Odeur et saveur nulles ou tres faibles. Habitat : Sur branches tombees de Quercus, Fagus, Castanea, Alnus, etc... Tres commun. Debute en Mai, avec maximun de vegetation en Septembre, decroissant pendant l'hiver. Spores : Tres arquees dites lunees, hyalines, bi-guttulees blanches en masse, (3)-3,5-(4) x (1,2)-1,4-(1,7) µm. Basides en tonnelet, tetrasporiques, (5)-6-8 x 4-5 µm Cystides hymeniales peu nombreuses, cylindriques a long col parfois capite ou avec au sommet des diverticules digites recouverts de cristaux spheriques. Dans la trame, presence de cristaux epars, spheriques, epineux plus ou moins emousses dits cristaux en "oursin". Systeme hyphal dimitique a texture emmelee. Hyphes squelettiques nombreuses, sinueuse, hyalines, a paroi epaisse larges de 1,5-2 µm. Hyphes generatrices peu nombreuses a paroi mince, hyalines, bouclees, larges de 1,25-2 µm Comestibilite : Sans interet Commentaires : Tres commun. Provoque une carie marbree du bois caracteristique avec des plages claires et d'autres plus sombres. Remarques : Debute en Mai, avec maximun de vegetation en Septembre, decroissant pendant l'hiver. |
| Leucoagaricus marriagei (D.A. Reid) Bon (1976) |
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Noms francais : Leucoagaricus de Marriage Synonymes : Lepiota roseilivida Murrill (1912), Mycologia, 4(5), p. 234 Lepiota marriagei D.A. Reid (1966), Nova Hedwigia, 11, suppl., p. 20 (Basionyme) Leucoagaricus marriagei (D.A. Reid) Bon (1976), Documents mycologiques, 6(24), p. 44 (= marriageae ) (nom actuel) Leucoagaricus marriagei var. ammovirescens Bon (1993), Documents mycologiques, 22(88), p. 31 Leucoagaricus roseilividus (Murrill) E. Ludwig (2012), Pilzkompendium, 3, p. 509 References : DM Hors Serie N° 3 ; Eyssartier et Roux p. 310, 320 Groupe : Lepiotes Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Agaricaceae Habitat : espece nitrophile des taillis de feuillus ou coniferes (cupressus, sequoia ...) ou dans les dunes ruderalisees. Spores : spores a sommets etires. Comestibilite : Sans interet Commentaires : Reaction immediate en vert de la cuticule par l'ammoniaque. Il se pourrait que Leucoagaricus marriagei, Leucoagaricus ammovirescens et leucoagaricus ianthinosquamulosus puissent constituer une seule et meme espece. les seules differences resideraient dans la reaction censement verte (ou non) a l'ammoniaque et dans la taille des spores. En effet, nous ignorons si la reaction ammoniacale a bien ete effectuee sur L. marriagei "type" lors de sa description princeps. |
| Leucoagaricus ianthinosquamulosus Guinberteau (1993) |
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Synonymes : Leucoagaricus ianthinosquamulosus Guinberteau (1993), Documents mycologiques, 22(88), p. 10 (Basionyme) References : DM Hors Serie N° 3 ; Eyssartier et Roux p. 320 Groupe : Lepiotes Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Agaricaceae Comestibilite : Sans interet Commentaires : Il se pourrait que Leucoagaricus marriagei, Leucoagaricus ammovirescens et leucoagaricus ianthinosquamulosus puissent constituer une seule et meme espece. les seules differences resideraient dans la reaction (ou non) a l'ammoniaque et dans la taille des spores. |
| Lenzitopsis oxycedri Malencon & Bertault (1963) |
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Synonymes : Lenzitopsis oxycedri Malencon & Bertault (1963), Bulletin de la Societe mycologique de France, 79,(1) p. 82 (Basionyme) (nom actuel)
Lenzitella malenconii Ryvarden (1991), Synopsis fungorum (Oslo), 5, p. 174 (nom. superfl.) References : Julich 256 ; E.P. 1 p. 376 fig. 180 Groupe : Croutes Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Thelephorales / Thelephoraceae Chapeau/Fructification : Receptacle epanche-reflechis, jusqu'a 1 cm de large, 2 cm de long et de 2 a 8 mm d'epaisseur, pliable au sec et s'ouvrant le long de la marge orbiculaire sub-pendante. Surface finement tomenteuse dans la partie superieure, brun fonce puis devenant plus tard glabre et presque noire. Hymenophore semi-lamelle, sinueux ou hydnoide, a dents plates ou epines d'environ 0,5 a 1 mm entres les lamelles, d'abord blanchatre puis ocrace a brun pale ( spores deposees), finement concasse. Trame blanchatre a "Tan". Contexte et subiculum concolores avec une zone noire vers le substrat. Habitat : Apparemment restreint aux Juniperus. Spores : Globuleuses a subglobuleuses, brun pale, finement verruqueuses, souvent avec de petits cristaux a l'interieur .J-. 6-7(-8) x 5-7 µm. Cystides absentes. Basides claviformes, 4 sterigmates, allongees considerablement avec des organes en formes de tubes sinueux, 35-80 µm, bouclees a la base. Monomitique : Hyphes generatrices bouclees, hyalines dans la trame et le contexte, 2,5-4 µm de large, peu ramifiees, brun pale dans le tomentum avec des cristaux brunatres avec l'age, plus ou moins abondants et disperses, devenant vert-bleuatre dans KOH. Comestibilite : Sans interet Commentaires : Isole ou par petits groupes. Rare. Annuel. Perenne. |
| Cortinarius armeniacus (Schaeffer) Fries (1838) [1836-38] |
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Noms francais : Cortinaire abricot ; Cortinaire brun orange Synonymes : Agaricus armeniacus Schaeffer (1774), Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 35, tab. 81 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) Cortinarius armeniacus (Schaeffer) Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 304 (nom actuel) Hydrocybe armeniaca (Schaeffer) Wunsche (1877), Die pilze. Eeine anleitung zur kenntniss derselben, p. 121 Gomphos armeniacus (Schaeffer) Kuntze (1891), Revisio generum plantarum, 2, p. 853 References : Cetto 1396 ; BK 5 294 ; Eyssartier et Roux p. 778 Groupe : Cortinaires Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Cortinariaceae Chapeau/Fructification : 3-8 cm, arrondi-campanule, vite deploye ou aplani, habituellement mamelonne, lisse, un peu luisant, tres hygrophane, brun orange a brun-rouge, ocre pale au sec, parfois legerement collant, un peu argente par le voile au bord. Lames/Pores : Assez serrees, brun ochrace clair, puis brun-rouge. Arete un peu plus claire ou a floculation blanche. Chair : Blanche, parfois violette au sommet du stipe. Stipe : 6-13 x 0,8-1,5 cm, a base c1aviforme, un peu elastique, blanc et luisant, parfois violet au sommet, chine de vergetures brunatres claires a la fin. Voile araneeux, blanc, en trainees ou lambeaux apprimes, quelquefois subannuliforme. Habitat : Dans les forets de coniferes des montagnes, tant sous epiceas que sous pins, en sol sec, pauvre, moussu ou riche en lichens. Spores : 7,5-9 x 5-6 µm, largement ellipsoides, faiblement verruqueuses. Comestibilite : Sans interet Commentaires : Caracterise par la belle couleur abricot du chapeau chez les jeunes (palissant considerablement au sec), et par son stipe elastique, aux restes de voile apprimes, contrastant avec le chapeau du fait de sa blancheur. |
| Leucoagaricus ammovirescens (Bon) Migliozzi & Coppola |
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Noms francais : Leucoagaricus vert a l'ammoniaque Synonymes : L. marriagei var. ammovirescens (Bon) References : Micol. Veget. Medit., 36 (1-2): 45-58. 2021 Groupe : Lepiotes Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Agaricaceae Chapeau/Fructification : rose corail a amethyste brunissant apres rosissement au toucher vert a l'ammoniaque Lames/Pores : reaction rufescente a l'ammoniaque Chair : blanche Stipe : rufo-brunissant aux endroits manipules chez les exemplaires frais Habitat : sous feuillus ou cupressus ruderalises Spores : amygdaliformes a sommet etire cheilocystides clavees mais souvent prolongees d'appendices diverticules Comestibilite : Sans interet Commentaires : Ce taxon, recemment eleve au statut d'espece en 2021 apres avoir ete considere comme une variete de Leucoagaricus marriagei, s'en differencierait par un chimisme verdatre a l'ammoniaque ; il se singularise par un jaunissement et un rosissement tres discrets au niveau du revetement du chapeau, une absence de rougissement au niveau des lames et une legere jauni-rufescence au niveau du stipe . Ce defaut de rougissement net l'elimine de la section "piloselli" nonobstant sa reaction a l'ammoniaque et son brunissement final (chapeau + stipe). Pour preuve, son exsiccatum n'est jamais noir, revelant l'absence de necro-pigment contrairement aux exsiccata des vrais "piloselli". Il se pourrait que Leucoagaricus marriagei, Leucoagaricus ammovirescens et Leucoagaricus ianthinosquamulosus puissent constituer une seule et meme espece. les seules differences resideraient dans la reaction censement verte (ou non) a l'ammoniaque et dans la taille des spores. En effet, nous ignorons si la reaction ammoniacale a bien ete effectuee sur L. marriagei "type" lors de sa description princeps. |
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