Il y a 2 champignons qui correspondent à votre recherche par ordre de popularité :
Phellinus rimosus (Berkeley) Pilat (1940) |
![]() |
Synonymes : Polyporus rimosus Berkeley (1845), in W.J. Hooker, The London journal of botany, 4, p. 54 (Basionyme)
Fomes rimosus (Berkeley) Cooke (1885), Grevillea, 14(69), p. 18 Fomes pappianus Bresadola (1896), Annuario della reale Istituto botanico di Roma, 6, p. 178 Xanthochrous tuniseus Patouillard (1897), Bulletin de la Societe mycologique de France, 13(4), p. 200 Xanthochrous igniarioides Patouillard (1898), Bulletin de la Societe mycologique de France, 14(1), p. 54 Scindalma rimosum (Berkeley) Kuntze (1898), Revisio generum plantarum, 3, p. 519 Fomes igniarioides (Patouillard) Saccardo & P. Sydow (1899), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 14, p. 182 Fomes tuniseus (Patouillard) Saccardo & P. Sydow (1899), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 14, p. 182 Xanthochrous rimosus (Berkeley) Patouillard (1900), Essai taxonomique sur les familles et les genres des hymenomycetes, p. 101 Pyropolyporus underwoodii Murrill (1903), Bulletin of the Torrey botanical Club, 30(2), p. 116 Fomes underwoodii (Murrill) Saccardo & D. Saccardo (1905), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 17, p. 117 Fomes subendothejus Bresadola (1910), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 8(6), p. 589 Fomes aulaxinus Bresadola (1912), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 10(5), p. 497 Pyropolyporus melleicinctus Murrill (1912), Bulletin of the New York botanical Garden, 8(28), p. 150 Fomes melleicinctus (Murrill) Murrill (1912), Bulletin of the New York botanical Garden, 8(28), p. 153 Fulvifomes melleicinctus (Murrill) Murrill (1915), Tropical Polypores, p. 85 Fulvifomes underwoodii (Murrill) Murrill (1915), Tropical Polypores, p. 88 Fomes tepperii Lloyd (1915), Mycological writings, 4, synopsis of the genus Fomes, p. 256 Phellinus rimosus (Berkeley) Pilat (1940), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 38(1), p. 80 (nom actuel) Pyropolyporus rimosus (Berkeley) Teng (1963), Chung-kuo ti chen-chun, p. 763 Phellinus pappianus (Bresadola) Ryvarden (1972), Norwegian journal of botany, 19(3-4), p. 234 Fulvifomes rimosus (Berkeley) Fiasson & Niemela (1984), Karstenia, 24(1-2), p. 14-28 References : Julich 2 p. 283 ; E.P. 2 p. 515 fig. 266-267 ; SMF 71 p. 265-311 Groupe : Polypores Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Hymenochaetales / Hymenochaetaceae Chapeau/Fructification : Fructification en forme de console, ongulee, ou semi-circulaire, dimidiee, 50-120 mm de large, 30-80 mm de projection et de 0,5 jusqu'a 3 cm d'epaisseur. Marge nettement arrondie, souvent fendillee, surtout a l'etat sec. Lames/Pores : Face inferieure finement poree, jaune brun. Pores a paroi mince, occlus et plus arrondis avec l'age, a parois devenant plus epaisse, 3-4 jusqu'a 5 par mm. Tubes brun fauve, stratifies, jusqu'a 7 mm d'epaisseur, Sporee coloree brune. Chair : Contexte, dur,tenace, rouille ou tabac brun, fibrilleux, dense et brillant, 0,5 et jusqu'a 3 cm d'epaisseur. Habitat : Sur troncs vivants et morts d'Arbutus, Pistacia, Punica, Quercus. Isole. Perenne. Peu frequent. Tout au long de l'annee. Espece des zones tropicales et mediterraneennes. Spores : En abondance, largement ellipsoides a subglobileuses, brun rouille, a parois epaisses, 5,5-7 x 4,5-6 µm. I-. Basides largement claviformes, a 4 sterigmates, 15-16 x 7-8 µm, 1 simple septee a la base. Dimitique : Hyphes generatrice variables, larges de 2,5-4 µm, a parois minces, jaune pale a brun rouille, moderement ramifiees, simplement septees dans le contexte, quelques hyphes a cloisons distinctement epaissies avec des ramifications moderees, brun rouille, jusqu'a 7µm de diametre. Hyphes squelettiques, 3-5 µm de diametre, solides dans la trame, un peu plus larges dans le contexte et d'autres du meme genre, simplement cloisonnees. Comestibilite : Sans interet Commentaires : Isole. Perenne. Peu frequent. Tout au long de l'annee. Remarques : Espece des zones tropicales et mediterraneennes. |
Pycnoporus coccineus (Fries) Bondartsev & Singer (1941) |
![]() |
Noms francais : Tramete coccine ; Polypore couleur de feu (ヒイロタケ) Synonymes : Polyporus coccineus Fries (1851), Nova acta regiae Societatis scientiarum Upsaliensis, series 3, 1, p. 67 (Basionyme) Fomes coccineus (Fries) Cooke (1885), Grevillea, 14(69), p. 21 Scindalma coccineum (Fries) Kuntze (1898), Revisio generum plantarum, 3, p. 518 Polystictus coccineus (Fries) Lloyd (1916), Mycological writings, 5, letter n° 62, p. 7 Pycnoporus sanguineus ss. auct. jap.. plur. Pycnoporus coccineus (Fries) Bondartsev & Singer (1941), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 39(1), p. 59 (nom actuel) References : IH1 782 ; IOH p. 468 Groupe : Polypores Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Polyporales / Polyporaceae Chapeau/Fructification : le plus souvent dimidies, sub-hemispheriques, largement soudes au support, plus rarement retrecis au point d'attache, 3-10-(15)cm de diametre x 0,4-0,7-(1) cm, surface unie, glabre puis veloutee au toucher comme une peau de chamois, d'abord rouge orange a rouge corail, palissant avec le temps et les intemperies. Marge obtuse, concolore ou rarement jaune orange. Lames/Pores : Surface inferieure poree, rouge orange a rouge vif, "sang de dragon". Pores minuscules, 6-8/ mm. Tubes concolores 1-2 mm de long, contrastant vivement, a la coupe, avec le contexte subereux plus pale. Chair : Subereuse mais devenant floconneuse ou cotonneuse a la cassure, noircissant immediatement au KOH. Habitat : Asie du Sud-Est et Asie tropicale. Au Japon, au sud de Hondo, en troupe sur les branches mortes, provoque une pourriture blanche qui gagne le bois initialement teinte de rouge orange par le mycelium. Spores : Basidiospores 4-4,6 x 1,8-2,3 µm, hyalines, non-amyloides, brievement cylindriques, legerement comprimees d'un cote; apicule minuscule. Comestibilite : Inconnu Commentaires : Deux substances antibiotiques ont ete isolees dans ce champignon lors de tests menes suite a leur utilisation par les populations aborigenes d'Australie, notamment pour curer les ulceres de la bouche. En Amerique du Sud, le Pycnoporus coccineus est utilise par les indiens du Bresil pour traiter les hemorragies et les troubles uterins (LEVI-STRAUSS, 1946, p. 485). Dans l'est du Chaco argentin, les indiens Tobas utilisent le Pycnoporus sanguineus sec, reduit en poudre et melange avec du corcho (bouchon) comme hemostatique (CROVETTO, 1964, p. 322). Nous voyons dans ces deux cas des applications de la theorie des signatures, la couleur rouge de ces polypores etant associee a la couleur du sang. Selon MARTENS (in FIDALGO, 1965, p. 3), les indiens du Bresil attribuent aux plantes de couleur rouge une relation avec le sang, expliquant l'utilisation du Pycnoporus sanguineus contre l'hemoptysie. |
Pour vous accompagner lors de vos sorties mycologiques, MycoDB vous recommande les guides suivants :