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| Agaricus xanthodermus Genevier (1876) |
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Noms francais : Agaric jaunissant ; Psalliote jaunissante Synonymes : Pratella campestris var. sylvicolass. Gillet (1876), Les hymenomycetes, ou description de tous les champignons (fungi) qui croissent en France, p. 562, tab. 581 (386) Agaricus xanthodermus Genevier (1876), Bulletin de la Societe botanique de France, 23, p. 32 (Basionyme) (nom actuel) Pratella xanthoderma (Genevier) Gillet (1884), Tableaux analytiques des Hymenomycetes de France (Alencon), p. 129 Psalliota xanthoderma (Genevier) Richon & Roze (1888), Atlas des champignons comestibles et veneneux de la France, p. 53 Pratella cretacea ss. Quelet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 73 Psalliota flavescens var. xanthoderma (Genevier) Costantin & L.M. Dufour (1891), Nouvelle flore des champignons, Edn 1, p. 119 Fungus xanthodermus (Genevier) Kuntze (1898), Revisio generum plantarum, 3, p. 480 References : CD 754 ; Bon p. 279 ; Marchand 113 ; Eyssartier et Roux p. 274 Groupe : Agarics Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Agaricaceae Chapeau/Fructification : 80-100 (150) mm de diametre, trapezoide ans la jeunesse, puis convexe avec un centre aplani, finalement etale ; surface lisse, mate, blanche, parfois un peu plus foncee au milieu, gris soutenu ou couvert de meches grises ou brunatres, jaunissant fortement au toucher, cuticule pouvant se dechirer un peu avec l'age ; marge longtemps inflechie, en partie ornee de restes de voile. Lames/Pores : Pales, puis roses, brun pourpre avec l'age, etroites, libres ; aretes entieres. Chair : Blanche, jaunissante en particulier a la base du pied qui vire rapidement au frottement et degage une odeur caracteristique d'encre, de phenol. Stipe : 8-10 (15) x 1-2 (2,5)cm, cylindrique, bulbeux vers la base, parfois aussi bulbeux margine, d'abord plein, creux avec l'age ; surface blanche en-dessous de l'anneau et finement ornee de fibrilles longitudinales, au-dessus blanchatre a rose carne, lisse ; anneau blanc, membraneux, pendant, epais, face inferieure brunatre devenant squamuleux glebuleux. Toutes les parties jaunissent au toucher, en particulier a la base, dedans comme dehors. Habitat : Dans les prairies, les forets, les vergers, les cimetieres et les decharges. Juillet-octobre (avril-decembre). Frequent. Spores : 4,9-6,3 x 3,7-4,3 µm, largement ellipsoidales, lisses, a parois epaisses. Comestibilite : Toxique Commentaires : Reaction de Schaffer negative Pour identifier cette espece avec certitude, il faut frotter la base du bulbe pour la voir jaunir instantanement, finissant en gris sale, puis noter l'odeur de phenol (encre). |
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