Il y a 3 champignons qui correspondent à votre recherche par ordre de popularité :
Gymnopilus spectabilis (Fries) A.H. Smith (1949) |
![]() |
Noms francais : Pholiote remarquable ; Pholiote a grand spectacle (オオワライタケ) Synonymes : Agaricus spectabilisFries (1828), Elenchus fungorum, sistens commentarium in systema mycologicum, 1, p. 28 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1832)(index) Agaricus quercicola Lasch (1829), Linnaea, Ein journal fur die botanik, 4, p. 544 Agaricus aureus ss. Berkeley (1836), The english flora of sir J.E. Smith, fungi, 5(2), p. 90 Agaricus aureus var. truncicola Rabenhorst (1845), Klotzschii herbarum vivum mycologicum, Edn 1, n° 702 Pholiota spectabilis (Fries) Gillet (1876), Les hymenomycetes, ou description de tous les champignons (fungi) qui croissent en France, p. 443 Dryophila aurea ss. Quelet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 161 Pholiota lutea Peck (1898), Annual report of the New York state Museum of natural history, 51, p. 288 Pholiota grandis Rea (1903) [1902], Transactions of the British mycological Society, 2(1), p. 37 Pholiota aurantiaca Thesleff (1920), Bidrag till kannedom af Finlands natur och folk, 79(1), p. 34 Rozites spectabilis (Fries) Singer (1922), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 20(5-6), p. 299 Pholiota gigantea Naveau (1923), Natuurwetenschappelijk tijdschrift, 5, p. 77 Fulvidula spectabilis (Fries) Romagnesi (1937), Revue de mycologie, Paris, 2, p. 191 Gymnopilus spectabilis (Fries) A.H. Smith (1949), Mushrooms in their natural habitats, p. 471 (nom actuel) Gymnopilus luteus (Peck) Hesler (1969), Mycologia memoirs, St. Paul, 3, p. 26 Souvent cite comme synonyme de Gymnopilus junonius References : Romagn. NA (I)59 ; Becker p. 247 ; Bon p. 245 ; CD 1207 ; IH1 448 ; IOH p. 268 ; Eyssartier et Roux p. 676 Groupe : Pholiotes Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Hymenogastraceae Chapeau/Fructification : epais et charnu, de 5 a 15 cm de diametre, hemispherique ou obtusement conique, puis convexe, parfois bossu au centre, a marge fortement enroulee dans la jeunesse, tres sec, glabre, soyeux, non hygrophane, tout vergete de petites ecailles rougeatres (apprimees et non dressees comme chez les pholiotes), puis finement gerce, d'une belle couleur jonquille ou doree (qui lui a valu son nom) et enfin fauve, roux orange a roux. Lames/Pores : pas tres serrees, inegales, en fer de faux, adnees a echancrees, un peu uncinees (decurrentes en filet), sulphurines puis fauve dore, avec l'arete plus jaune, enfin safrane rouille par les spores, de consistance tenace (impossible a fendre transversalement). Chair : epaisse, ferme et tres amere, du meme jaune safrane vif que le chapeau, se tachant de brun rouge au toucher. Odeur faible. Saveur amere. Stipe : 8-15 x 1-3 cm, ventru (un peu attenue en haut et en bas, renfle dans la partie moyenne), courbe, plein, ferme et presque dur, farineux et striole au sommet, glabrescent, d'un superbe jaune d'or clair, muni pres des lames d'un anneau membraneux bien developpe, assez mince, strie, jaune puis rouille. Habitat : Assez commun dans les bois clairs, les pres ou le long des routes, souvent en touffes, plus ou moins fournies, surtout sur les vieilles souches de feuillus, isolees et ensoleillees. Thermophile. Spores : de couleur fauve rouille en masse, 8-11,5 x 5-7 µm, subamygdaliformes a pruniformes, granulees de fortes verrues, sans pore germinatif, jaune fauve vif sous le microscope. Petites cystides lageniformes a suc jaune, difficiles a voir entre les basides. Cuticule filamenteuse. Comestibilite : Toxique Commentaires : Jaune vif et amers, les Gymnopiles different des vraies pholiotes par la couleur de la sporee et du carpophore, les spores fortement verruqueuses. En Asie, ou l'amertume n'est pas un obstacle a la consommation, cette espece est traditionnellement consideree comme psychodysleptique, comme en atteste par exemple le noms japonais "Oo-warai-take" = Grand champignon hilarant. |
Gymnopilus junonius (Fries) P.D. Orton (1960) |
![]() |
Synonymes : Agaricus junonius Fries (1821), Systema mycologicum, 1, p. 244 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Pholiota junonia (Fries) P. Karsten (1879), Bidrag till kannedom af Finlands natur och folk, 32, p. 301 Dryophila junonius (Fries) Quelet (1886), Enchiridion fungorum in Europa media et praesertim in Gallia vigentium, p. 68 Pholiota spectabilis var. junonia (Fries) J.E. Lange (1940), Flora agaricina Danica, 5, p. 100, pl. 200, fig. J Gymnopilus spectabilis var. junonius (Fries) Kuhner & Romagnesi (1953), Flore analytique des champignons superieurs, p. 323 (nom. inval.) Gymnopilus junonius (Fries) P.D. Orton (1960), Transactions of the British mycological Society, 43(2), p. 176 (nom actuel) Pholiota citrinofolia Metrod (1962) [1960-61], Bulletin de la Societe des naturalistes d'Oyonnax, 14-15, p. 141 (nom. inval.) References : CD 328 Groupe : Pholiotes Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Hymenogastraceae Comestibilite : Sans interet Commentaires : Gymnopilus spectabilis et Gymnopilus junonius sont consideres comme synonymes par la plupart des auteurs. |
Phaeolepiota aurea (Mattuschka) Maire ex Konrad & Maublanc (1928) |
![]() |
Noms francais : Pholiote doree Synonymes : Agaricus aureus Mattuschka (1779), Enumeratio stirpium in Silesia sponte crescentium, p. 331 (errone) (Basionyme ?) Sanctionnement : Fries (1821) (?) Agaricus vahlii Schumacher (1803), Enumeratio plantarum in partibus Saellandiae septentrionalis et orientalis, 2, p. 258 Lepiota aurea (Mattuschka) Gray (1821), A natural arrangement of British plants, 1, p. 603 Agaricus spectabilis Weinmann (1824), Sylloge plantarum novarum itemque minus congnitarum, 1, p. 73 (nom. illegit.) Agaricus aureus lepiota Secretan (1833), Mycographie Suisse, 1, p. 82 (nom. inval.) Agaricus torosus Fries (1838) [1836-38], Epicrisis systematis mycologici, p. 160 Pholiota spectabilis P. Kummer (1871), Der furher in die pilzkunde, p. 84 (nom. illegit.) Pholiota aurea (Mattuschka) P. Kummer (1871), Der furher in die pilzkunde, p. 85 Pholiota aurea var. vahlii (Schumacher) P. Karsten (1879), Bidrag till kannedom af Finlands natur och folk, 32, p. 291 Agaricus aureus var. vahlii (Schumacher) Cooke (1883), Handbook of british fungi, Edn 2, p. 140 Agaricus aureus var. herefordensis Cooke (1886), Illustrations of british fungi, 3, n° 374, tab. 347 Pholiota aurea var. herefordensis (Cooke) Saccardo (1887), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 5, p. 736 Lepiota pyrenaea Quelet (1888) [1887], Compte rendu de l'Association francaise pour l'avancement des sciences, 16(2), p. 587, pl. 21, fig. 1 Tricholoma aureum (Mattuschka) Laplanche (1894), Dictionnaire iconographique des champignons superieurs (Hymenomycetes) qui croissent en Europe, Algerie & Tunisie, p. 330 Togaria aurea (Mattuschka) W.G. Smith (1908), Synopsis of the British Basidiomycetes, p. 122 Pholiota vahlii (Schumacher) J.E. Lange (1921), Dansk botanisk arkiv, 2(11), p. 5 Phaeolepiota aurea (Mattuschka) Maire ex Konrad & Maublanc (1928), Icones selectae fungorum, 6, p. 112, pl. 3 (nom actuel) Cystoderma aureum (Mattuschka) Kuhner & Romagnesi (1953), Flore analytique des champignons superieurs, p. 393 (nom. inval.) References : KR p. 293 ; CD 645 ; Bon p. 173 ; Eyssartier et Roux p. 676 Groupe : Pholiotes Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Incertae sedis Chapeau/Fructification : Epais au centre, ochrace, dore ou fauve-dore, pulverulent par de petits flocons tres denses. Lames/Pores : Creme-ocre, puis rouillees. Stipe : 25 x 1,2-3,5 cm, ochrace, dore ou fauve-dore au dessous de l'anneau, pulverulent par de petits flocons tres denses, lisse en haut. Anneau ample, membraneux, d'abord ascendant, persistant, forme par l'etalement du voile qui gaine toute la partie inferieure du stipe, dont il est facilement separable jusqu'a la base. Spores : (7)-9-10-(15) x 4-6 µm, ellipsoides-subfusiformes, a membrane assez epaisse, finement verruqueuses, a pore germinatif petit. Cystides absentes. Comestibilite : Toxique Commentaires : Longtemps considere comme comestible, il est maintenant classe toxique car sa chair contient des traces de cyanure d'hydrogene. Le basionyme :Agaricus aureus Mattuschka (1779) est errone, il doit etre remplace. |
Pour vous accompagner lors de vos sorties mycologiques, MycoDB vous recommande les guides suivants :