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Trochila laurocerasi (Desmazieres) Fries (1849) |
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Synonymes : Phacidium laurocerasi Desmazieres (1826), Plantes cryptogames du Nord de la France, Edn 1, 4, n° 188 (Basionyme)
Peziza smaragdina Leveille (1846), Annales des sciences naturelles, botanique, serie 3, 5, p. 252 Trochila laurocerasi (Desmazieres) Fries (1849), Summa vegetabilium Scandinaviae, 2, p. 367 (nom actuel) Trochila smaragdina (Leveille) Saccardo (1880), Michelia, 2(6), p. 83 Trochila laurocerasi var. smaragdina (Leveille) Saccardo (1889), Sylloge fungorum omnium hucusque cognitorum, 8, p. 729 Pyrenotrochila laurocerasi (Desmazieres) Hohnel (1917), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 15(5), p. 332 Pyrenopeziza laurocerasi (Desmazieres) Nannfeldt (1932), Nova Acta Regiae Societatis Scientiarum Upsaliensis, series 4, 8(2), p. 153 References : Ellis p. 196 fig. 868 ; Dennis p. 195 ; Gr. p. 599 n° 1037 Groupe : Pezizes Classification : Ascomycota / Leotiomycetes / Helotiales / Dermateaceae Chapeau/Fructification : Receptacle erumpant, d'abord hemispherique et noir-olivatre, puis deprime-cupulaire et noir, large de 0,5 a 1 mm, borde par l'epiderme de la feuille en trois ou quatre petites dents, plus ou moins apparentes. Habitat : En tres grand nombre sur la face inferieure de vieilles feuilles mortes de Prunus laurocerasus. Spores : Ovales-oblongues, hyalines, lisses, continues, presentant a l'interieur deux ou plus souvent trois gouttelettes et quelques petites granulations, 10-12 x 5 µm. Asques cylindriques-claviformes, octospores, 55-80 x 8-10 µm. Paraphyses assez robustes, septees, epaisses de 4 µm environ, terminees par une clavule oblongue, large de 5 a 9 µm, remplie d'un liquide jaune-verdatre, puis de granulations olivatres. Comestibilite : Sans interet Commentaires : Repandu. Ete. |
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