Il y a 3 champignons qui correspondent à votre recherche par ordre de popularité :
| Clavulinopsis helvola (Persoon) Corner (1950) |
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Noms francais : Clavaire lumineuse Synonymes : Clavaria flava O.F. Muller (1777), Beschaftigungen der berlinischen Gesellschaft naturforschender freunde, 3, p. 352, tab. 9, fig. 1-3 (nom. illegit.) Clavaria lutea Lamarck (1778), Flore francaise ou description succincte de toutes les plantes qui croissent naturellement en France, Edn 1, 1, p. 126 Clavaria polymorpha rufa O.F. Muller (1778), Flora danica, 13, p. 8, tab. 775, fig. 1 (nom. inval.) Clavaria simplicissima Willdenow (1787), Florae berolinensis prodromus, p. 406 Clavaria teres Baumgarten (1790), Flora lipsiensis, p. 653, tab. 4, fig. 2-a Clavaria muscoides var. 2 aurantiacaBulliard (1791), Histoire des champignons de la France, 1, p. 203, tab. 358, fig. A-B Clavaria polymorpha J.F. Gmelin (1792), Systema naturae, Edn 13, 2, p. 1445 Clavaria elongata Ehrhart (1792) [1785-95], Plantae cryptogamae linneae, exsiccavit, 19, n° 189 Clavaria rufa (O.F. Muller) Persoon (1797), Commentatio de fungis clavaeformibus, p. 71 Clavaria angustata Persoon (1797), Commentatio de fungis clavaeformibus, p. 72, tab. 1, fig. 3 Clavaria helvola Persoon (1797), Commentatio de fungis clavaeformibus, p. 69 ('helveola') (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) Clavaria helvola var. ß teres (Baumgarten) Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 598 ('helveola') Clavaria falcata var. ß obtusata Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 604 Geoglossum polymorphum (J.F. Gmelin) Gray (1821), A natural arrangement of British plants, 1, p. 659 Clavaria helvola var. γ angustata (Persoon) Persoon (1822), Mycologia europaea, seu complet omnium fungorum in variis europaeae regionibus detectorum enumeratio, 1, p. 181 Clavaria cylindrica Chevallier (1826), Flore generale des environs de Paris, 1, p. 108 (nom. illegit.) Clavaria inaequalis var. d aurantiaca (Bulliard) Fries (1828), Elenchus fungorum, sistens commentarium in systema mycologicum, 1, p. 232 Clavaria inaequalis var. γ angustata (Persoon) Fries (1828), Elenchus fungorum, sistens commentarium in systema mycologicum, 1, p. 232 Clavaria inaequalis var. d helvola(Persoon) Link (1833), Handbuch zur Erkennung der natuzbarsten und am haufigsten vorkommenden Gewachse, 3, p. 306 Clavaria flammans Berkeley (1874) [1875], The journal of the linnean Society, botany, 14(77), p. 350 Clavaria inaequalis subsp.* helvola (Persoon) P. Karsten (1882), Bidrag till kannedom af Finlands natur och folk, 37, p. 172 Clavaria dissipabilis Britzelmayr (1887), Bericht des naturwissenschaftlichen vereins fur schwaben und Neuburg, 29, p. 289, fig. 28, 55 Clavaria similis Boudier & Patouillard (1888), Journal de botanique, Paris, 2(24), p. 445 Clavaria echinospora Boudier & Patouillard (1888), Journal de botanique, Paris, 2(19), p. 341, tab. 8, fig. 1 (nom. illegit.) Clavariella similis Boudier & Patouillard (1889), Tabulae analyticae fungorum, 7, p. 69, fig. 686 Clavaria inaequalis ss. Cotton & Wakefield (1919) [1918], Transactions of the British mycological Society, 6(2), p. 189 Clavulinopsis helvola (Persoon) Corner (1950), A monograph of Clavaria and allied genera: Annals of botany memoirs, 1, p. 372, pl. 10, fig. 2 (nom actuel) Ramariopsis helvola (Persoon) R.H. Petersen (1978), Mycologia, 70(3), p. 669 References : CD 117 ; Eyssartier et Roux p. 1012 ; Phillips p. 258 ; Bon p. 308 ; Cetto 3 p. 459 ; BG p. 184 . BK 2 448 ; Funghi Clavarioidi 1 p. 392 Groupe : Clavaires Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Clavariaceae Chapeau/Fructification : Fructification filiforme ou etroitement clavee, le plus souvent ondulee, tordue ou torsadee, 10-60 x 1,5-4 mm, cylindrique, ± arrondie ; surface lisse ou faiblement inegale, jaune d’œuf mais plus pale vers la base ; extremites pointues, non ramifiees, ou plus rarement avec une seule fourche. Lames/Pores : Hymenium s'etalant sur l'ensemble a l'exception d'une zone nette sur le pied qui est plus pale. Chair : Chair de couleur jaune pale, fibreuse et ferme, pleine. Odeur insignifiante, douce. Saveur indistincte. Habitat : Pousse dans la mousse, l'herbe, dans les pres moussus des forets de feuillus, les pelouses. Isole, plus rarement fascicule, souvent gregaire. Ete-automne. Rare. Spores : Spores largement elliptiques a arrondies, ornees de grossieres verrues obtuses, uniguttulees, hyalines, (ou faiblement jaunes), mesurant 4-7 x 4-5,5 µm (sans les verrues). Basides etroitement clavees, 2-4-sporiques, bouclees. Pas de cystide. Systeme hyphal monomitique : A - Hyphes larges, bouclees. Comestibilite : Sans interet |
| Ramaria flava (Tournefort) Quelet (1888) |
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Noms francais : Clavaire jaune Synonymes : Clavaria fastigiata Linnaeus (1753), Species plantarum exhibentes plantas rite cognitas ad genera relatas, 2, p. 1183 Coralloides flavus Tournefort (1755), in Battarra, Fungorum agri ariminensis historia, p. 22 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) Clavaria flava (Tournefort) Schaeffer (1774), Fungorum qui in Bavaria et Palatinatu circa Ratisbonam, 4, p. 113, tab. 175 Clavaria coralloidesJ.F. Gmelin (1792), Systema naturae, Edn 13, 2, p. 1444 (nom. illegit.) Clavaria flava var. ß divaricataPersoon (1822), Mycologia europaea, seu complet omnium fungorum in variis europaeae regionibus detectorum enumeratio, 1, p. 162 Merisma flavum (Tournefort) Sprengel (1827), Systema vegetabilium, Edn 16, 4(1), p. 497 Corallium flavum (Tournefort) G. Hahn (1883), Der pilzsammler; oder, Anleitung zur kenntniss der wichtigsten pilze Deutschlands und der angrenzenden lander, Edn 1, p. 72 Ramaria flava (Tournefort) Quelet (1888), Flore mycologique de la France et des pays limitrophes, p. 466 (nom actuel) Clavariella flava(Tournefort) Maire (1917), Bulletin de la Societe d'histoire naturelle de l'Afrique du Nord, 8(4), p. 79 References : CD 131 ; Marchand 1 76 ; BK 2 464 ; Cetto 2 764 ; BG p. 95 n°137 ; L.R.E. p. 89 ; Funghi Clavarioidi 2 p. 916 Groupe : Clavaires Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Gomphales / Gomphaceae Chapeau/Fructification : 8-15-(20) cm de haut, 7 a 15 cm de diametre. Tronc plutot epais et court, plein, attenue, blanchatre a la base, jaunatre vers le haut, parfois macule de rouge vineux sombre. Rameaux en ramules dresses, raides, cylindriques ou souvent comprimes, nombreux, divises en plus de 2 branches en bas, dichotomes en haut, avec des entre-deux assez longs, peu epais, pleins, fragiles, jaune sulfurin ou jaune citrin, enfin jaune ochrace par les spores. Ramuscules obtus ou dentes, concolores. Ramifications en U ou en V. Chair : Tendre, molle, ferme, cassante, marbree-aqueuse, blanche ou un peu jaunatre, rougissante ou rouge sous les macules des exemplaires taches. Odeur agreable, un peu aromatique, saveur douce. Reaction coloree en vert au sulfate de fer, nulle ou tres lentement a l'eau anilinee. Habitat : Terrestre, sur sol calcaire ou silicieux, sous feuillus ou coniferes. Isole a gregaire. De l'ete a l'automne. Pas rare. Spores : Ellipsoides-cylindracees, a gros apicule oblique, rugeuses-verruqueuses, hyalines a jaune tres pale, guttulees, 10-12,5-(14) x 4-4,5-(5) µm. Sporee jaune ou ochrace pale, cyanophyles, I-. Basides etroitement clavees, 40-60 x 8-10 µm, tetrasporiques, bouclees. Cystides absentes. Monomitique : Hyphes a parois minces, 2-3-(3,5) x 15 µm, cloisons souvent depourvues de boucles. Comestibilite : Sans interet Commentaires : Isole a gregaire. Pas rare. Ete-Automne. |
| Ramaria apiculata (Fries) Donk (1933) |
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Noms francais : Clavaire aux yeux verts Synonymes : Clavaria apiculata Fries (1818), Observationes mycologicae praecipue ad illustrandam floram suecicam, 2, p. 288 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821) Clavariella apiculata (Fries) P. Karsten (1881), Revue mycologique (Toulouse), 3(9), p. 21 Clavaria testaceoflava var. testaceoviridisG.F. Atkinson (1908), Annales mycologici, edii in notitiam scientiae mycologicae universalis, 6(1), p. 58 Ramaria apiculata (Fries) Donk (1933), Mededeelingen van de Nederlandsche mycologische vereeniging, 22, p. 105 (nom actuel) Clavaria testaceoviridis (G.F. Atkinson) Doty (1944), Clavaria, the species known from the Oregon and the Paific North West, p. 47, tab. 8 Ramaria testaceoviridis (G.F. Atkinson) Corner (1950), A monograph of Clavaria and allied genera: Annals of botany memoirs, 1, p. 631 References : L.R.E. p. 51 ; Funghi Clavarioidi 2 p. 686 Groupe : Clavaires Classification : Basidiomycota / Agaricomycetes / Gomphales / Gomphaceae Chapeau/Fructification : 140-170 de haut x 80-120 mm de large, rameaux eriges, parfois ecartes puis souvent aplatis, peu epais, brun clair a brunatre sale, ocre brunatre, rose brunatre, cannelle, plus sombres aux endroits steriles, brun vineux aux blessures ; basidiome parfois sans teinte verte. Extremites fragiles, 1-4 mm de long, vert pale a jaune verdatre ou concolores aux rameaux, en U assez serre. Lames/Pores : Tronc simple et reduit ou rameux a la base, apparaissant cespiteux, blanc a creme, souvent avec une teinte verte ou bleu vert pale, olivatre clair, jaune vert sale, base souvent recouverte d'un mycelium blanc avec rhizomorphes. Chair : Concolore a la surface. Odeur indistincte, saveur amarescente et piquante. Habitat : Lignicole, sur bois pourri de feuillus et coniferes. Spores : Ovoides ou elliptiques-7-8-11-(12) x 4-5,5 µm, avec un apicule excentre, guttulees ou non, finement verruqueues ; les verrues sont dispersees, souvent alignees ou en spirales et a peine reliee entres elles. Basides bouclees. Monomitique : (1 ) - Hyphes generatrices, a parois minces,2,5-4 µm, clavees-allongees, 13 µm dans les renflements, a parois fines a epaissies 0,5 µm avec des ornementations legeres. ( 2 ) - Hyphes squelettiques ( rares ), larges de 3-4,5 µm, a parois epaissies, 1,2-1,5 µm. Comestibilite : Sans interet Commentaires : Isoles a gregaires ou cespiteux. Peu frequent. Automne. |
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