Chroogomphus helveticus(Singer) M.M. Moser (1967) |
Gomphide helvétique |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Boletales / Gomphidiaceae
Gomphidius helveticus Singer (1950), Schweizerische zeitschrift für pilzkunde, 28, p. 198 (Basionyme)
Chroogomphus helveticus (Singer) M.M. Moser (1967), Kleinen kryptogamenflora von mitteleuropa, band 2b/2, Edn 3, p. 51 (nom actuel)
Sous conifères, surtout Picea, plus rarement Pinus, Abies et Larix.
Grégaire, plus rarement solitaire. Dans les forêts, les parcs et jardins. Juillet-octobre (mai-décembre). Assez fréquent.
Sans intérêt
CD 1620-458, 66 ; Marchand 172 ; Bon p. 50 ; Eyssartier et Roux p. 940, 970 4eme édition
Chroogomphus tomentosus, espèce américaine, plus grêle et plus pâle et ochracé, parasite Aureoboletus mirabilis (seul son hôte a pour l'instant été retrouvé en Europe).
Chroogomphus mediterraneus à tendance méditerranéenne, n'a pas de réaction amyloïde dans la trame lamellaire.
Cystogomphus humblotii, espèce extrêmement rare et énigmatique, ressemble à Chroogomphus tomentosus, mais son voile est composé de sphérocytes, son chapeau conserve des plaques écailleuses, possède de longues cystides allant jusqu'à 150 μm de longueur et pousse en association avec des conifères exotiques.
La seule découverte a été faite à Vincennes en 1924 et le spécimen type existe toujours. Cela permettra éventuellement à des études génétiques de déterminer sa position dans les Gomphidiaceae.
membre des boletales : Hyménophore lamellé ou tubulé-poré alors séparable de la chair du basidiome