Basidiomycota / Tremellomycetes / Tremellales / Tremellaceae

Synonymes   

Tremella encephala Willdenow (1788), in Römer & Usteri, Magazin für die botanik, 2(4), p. 17, tab. 4, fig. 14 ('encephaliformis' ) (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1822) (nom actuel)
Tremella fragiformis Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 622
Tremella encephaloides Schumacher (1803), Enumeratio plantarum in partibus Saellandiae septentrionalis et orientalis, 2, p. 439
Tremella alutacea Schumacher (1803), Enumeratio plantarum in partibus Saellandiae septentrionalis et orientalis, 2, p. 439
Encephalium aurantiacum Link (1816), Magazin der Gesellschaft naturforschender freunde zu Berlin, 7, p. 33
Dacrymyces fragiformis (Persoon) Nees (1817), Das system der pilze und Schwämme, p. 155
Naematelia rubiformis Fries (1818), Observationes mycologicae praecipue ad illustrandam floram suecicam, 2, p. 370 ('tubiformis ')
Naematelia encephala (Willdenow) Fries (1818), Observationes mycologicae praecipue ad illustrandam floram suecicam, 2, p. 370
Tremella rubiformis (Fries) Persoon (1822), Mycologia europaea, seu complet omnium fungorum in variis europaeae regionibus detectorum enumeratio, 1, p. 99
Tremella encephaloidea Sprengel (1827), Systema vegetabilium, Edn 16, 4(1), p. 534
Tremella alabastrina Brefeld (1888), Untersuchungen aus dem gesammtgebiete der mykologie, 7, p. 129
Dacrymyces rubiformis (Fries) Neuhoff (1934), Schweizerische zeitschrift für pilzkunde, 12, p. 81

Couleur : Blanc, Jaune
Description :Errompant, subsessile ou pulviné subglobuleux, 1 à 3 cm de diamètre, rugueux, peu plissé, incarnat pâle légèrement fuscescent, pellucide, souvent teinté de crème orangé, pruineux à maturité, noyau dur cartilagineux, blanchâtre, adhérent. Marge nette.

Sphériques ou largement elliptiques, lisses, hyalines, parfois avec de petites guttules pourvues souvent d'un mucron obtus, très distinct, germant sur le côté, 10-12 x 7,5-9 µm. I-. Hypobasides arrondies, septées longitudinalement, avec 2 longues épibasides, 13-20 x 13-18 µm. Hyphes de la couche gélatineuse larges, 1,5-2,5 µm, septées et cloisonnées. Hyphes du noyau larges de 2,5-4 µm, à parois épaisses, cloisonnées, non bouclées.

Sur bois mort de conifères, ( souvent poteaux et vieilles barrières surtout de Pinus d' Abies et Picea, toujours en relation avec Stereum sanguinolentum qu'il parasite.

Sans intérêt

Références bibliographiques

BK 2 26 ; BG p. 24 n°30 ; Fiches de Jean Mornand

Isolé ou cespiteux. Peu fréquent . Début d'année jusqu'en automne, particulièrement en périodes humides.