Steccherinum fimbriatum(Persoon) J. Eriksson (1958) |
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Basidiomycota / Agaricomycetes / Polyporales / Steccherinaceae
Odontia fimbriata Persoon (1796), Observationes mycologicae seu descriptiones tam novorum quam notabilium fungorum, 1, p. 88 (Basionyme) Sanctionnement : Fries (1821)
Sistotrema fimbriatum (Persoon) Persoon (1801), Synopsis methodica fungorum, p. 553
Hydnum fimbriatum (Persoon) Poiret (1808), in Lamarck, Encyclopédie méthodique, Botanique, 8, p. 201
Xylodon fimbriatum (Persoon) Chevallier (1826), Flore générale des environs de Paris, 1, p. 273
Mycoleptodon fimbriatum (Persoon) Patouillard (1900), Essai taxonomique sur les familles et les genres des hyménomycètes, p. 116
Etheirodon fimbriatum (Persoon) Banker (1902), Bulletin of the Torrey botanical Club, 29, p. 441 (nom actuel)
Gloiodon fimbriatum (Persoon) Donk (1931), Mededeelingen van de Nederlandsche mycologische vereeniging, 18-20, p. 190
Odontia rosea Rick (1933), Egatea, 18, p. 43 (nom. illegit.)
Steccherinum fimbriatum (Persoon) J. Eriksson (1958), Symbolae botanicae upsalienses, 16(1), p. 134
Cystidiodendron roseum Rick (1959), Iheringia, série botânica, 5, p. 172
Irpex fimbriatus (Persoon) Kotiranta & Saarenoksa (2002), Polish botanical journal, 47(2), p. 102
Consistance membraneuse, tenace.
Skeletospores elliptiques-ovales, lisses, hyalines et quelquefois guttulées, 4-5 x 2,5-3 µm. Basides clavées, tétrasporiques bouclées. Cystides à parois épaisses. Hyphes à parois minces ou épaissies, cloisonnées, bouclées. Hyphes squelettiques à parois épaisses et larges.
Sur bois pourri surtout de feuillus, rare sur conifères.
Se développe en général sur la face inférieure.
Toute l'année. Fréquent et répandu.
Sans intérêt
Jülich p. 196 ; BK 2 193 ; Fiches de Jean Mornand
Très reconnaissable à sa couleur, à sa surface finement verruqueuse, ainsi qu'à sa bordure frangée et à ses rhizomorphes.
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