![]() |
Psathyrella sphagnicola(Maire) J. Favre (1937) |
![]() |
Psathyrelle des sphaignes |
![]() | ![]() |
![]() | ![]() | ![]() |
![]() | ![]() | ![]() |
Basidiomycota / Agaricomycetes / Agaricales / Psathyrellaceae
Stropharia sphagnicola Maire (1910), Bulletin de la Société mycologique de France, 26(2), p. 192 (Basionyme)
Stropharia psathyroides J.E. Lange (1923), Dansk botanisk arkiv, 4(4), p. 36 (nom. illegit.)
Hypholoma sphagnicola (Maire) Konrad & Maublanc (1928), Icones Selectae Fungorum, 6, pl. 88
Drosophila sphagnicola (Maire) Kühner & Romagnesi (1953), Flore analytique des champignons supérieurs, p. 361 (nom. inval.)
Psathyrella psathyroides M.M. Moser (1953), Kleinen kryptogamenflora von mitteleuropa, band 2b/2, Edn 1, p. 205
Psathyrella sphagnicola (Maire) J. Favre (1937), Bulletin de la Société mycologique de France, 53(3-4), p. 282 (nom actuel)
Parmi les sphaignes ou les polytrics des tourbières. Solitaire ou grégaire. Automne. Rare.
Sans intérêt
CD 811 ; BK 4 358 ; Eyssartier et Roux p. 894 ; Bibliographie de Jacques Trimbach
Psathyrella vesterholtii, possède des plus petites spores, 9–11 x 5–6 μm et des pleurocystides.
L'anneau ample mais fragile peut avoir été arraché ou mangé rendant la détermination plus délicate.
Pour vous accompagner lors de vos sorties mycologiques, MycoDB vous recommande les guides suivants :